The DG Environment of the FPS Health, Food Chain Safety and Environment is responsible for designing and implementing a federal environmental policy that is ecological, integrated and preventive, in complementarity with regional competences. It aims to guarantee a healthy environment for all, in line with Belgium's constitutional and international commitments.

DG Environment of the FPS Health, Food Chain Safety and Environment

La DG Environnement du SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement est chargée de concevoir et de mettre en œuvre une politique environnementale fédérale écologique, intégrée et préventive, en complémentarité avec les compétences régionales. Elle vise à garantir un environnement sain pour tous, conformément aux engagements constitutionnels et internationaux de la Belgique.

DG Environnement du SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement

De DG Leefmilieu van  de FOD Volksgezondheid, Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu is verantwoordelijk voor het uitwerken en uitvoeren van een federaal milieubeleid dat ecologisch, geïntegreerd en preventief is, in aanvulling op de gewestelijke bevoegdheden. Het heeft tot doel een gezond leefmilieu voor iedereen te garanderen, in overeenstemming met de grondwettelijke en internationale verplichtingen van België.

FOD Volksgezondheid, Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu

SPF Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement

Animals and nature

Animaux et nature

Dieren en natuur

Energy and fuels

Énergie et carburants

Energie en brandstoffen

Environment and sustainability

Environnement et durabilité

Milieu en duurzaamheid

Politics and government

Politique et gouvernement

Politiek en overheid

Climate

Climat

Klimaat

La Commission européenne a déjà recommandé à plusieurs reprises à la Belgique de résoudre ce problème. Dans le même temps, davantage d’adultes devraient participer à des formations continues ou à des reconversions, et les demandeurs d’emploi auront besoin d’un accompagnement pour saisir les opportunités offertes par la transition.Afin de mieux cerner ces besoins et de soutenir la politique, le Service Changement climatique publie une nouvelle étude sur l’impact de la transition climatique sur l’emploi, les compétences et la formation en Belgique.Il n’y aura pas de transition climatique sans transition de l’emploi et de la formationLe rapport, réalisé par Climact et IDEA Consult, analyse l’évolution de la demande de main-d’œuvre et les besoins en formation dans sept secteurs qui sont fortement influencés par la transition climatique.Les profondes mutations en cours exigent une action rapide pour répondre aux besoins futurs en personnel et en formation. Ce n’est qu’en comblant le fossé actuel entre le marché du travail et la formation des demandeurs d’emploi que notre pays pourra saisir les opportunités offertes par la transition climatique. La coopération et la coordination entre les autorités, les services publics, les partenaires sociaux, les fonds sectoriels et les établissements d’enseignement seront essentielles.Trois messages clés :1.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; La transition climatique offre des opportunités de création d’emplois de qualité. D’ici 2050, une (légère) croissance nette de l’emploi est attendue, avec d’importants déplacements entre et au sein des secteurs.2.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Pour saisir ces opportunités, il faut mieux identifier les besoins futurs en main-d’œuvre et en formation, ainsi que renforcer la qualité et l’attractivité des emplois liés au climat.3.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Une meilleure articulation entre le marché du travail et l’enseignement est essentielle. Les profils de compétences et les programmes de formation doivent davantage intégrer les enjeux de la transition.Evolution par secteur<ul><li>Transport : d’ici 2050, la demande de chauffeurs de transports publics pourrait doubler, celle des coursiers et mécaniciens vélo croître fortement, tandis que la demande de chauffeurs routiers et de mécaniciens automobile devrait diminuer. De meilleures conditions de travail, des efforts de reconversion et des formations courtes seront essentielles pour garantir une main-d’œuvre suffisante dans ce secteur.</li><li>Santé : les changements dans la demande de travail dus à la transition seront limités, mais la décarbonation du secteur passera par la prévention et les pratiques circulaires. La formation initiale du personnel soignant devra accorder plus d’attention à ces aspects.</li><li>Agriculture et alimentation : d’ici 2050, ce secteur pourrait connaître une hausse potentielle de 50 000 à 100 000 emplois selon le scénario de transition. Une transition réussie nécessitera une vision à long terme et un accompagnement technique à la reconversion et à la diversification.</li><li>Construction : ce secteur restera une source majeure d’emploi, mais souffre déjà de graves pénuries. D’ici 2050, jusqu’à 130 000 emplois supplémentaires seront nécessaires pour les rénovations liées au climat, dont 59 000 dans la construction elle-même et 79 000 dans la chaîne d’approvisionnement. Dans ce secteur, il est urgent d’adapter les formations afin d’intégrer les nouvelles compétences liées aux besoins de rénovation.</li><li>Economie circulaire&nbsp;: d’ici 2050, on prévoit une croissance continue des emplois circulaires, notamment dans la réutilisation et la réparation. Les conditions de travail devront cependant s’améliorer pour attirer suffisamment de travailleurs, et il faudra développer des programmes de formation spécifiques au secteur.</li><li>Recherche et développement : il est difficile d’estimer le nombre d’emplois liés à la R&amp;D climatique, mais une augmentation du nombre de chercheurs – technologiques, humains et sociaux – est attendue. Le secteur est toutefois en concurrence avec d’autres pour attirer les profils STEM, déjà rares.</li><li>Enseignement : la pénurie actuelle de personnel constitue aussi un frein à la transition. En parallèle, enseignants et formateurs devront être formés aux enjeux du climat et du développement durable.</li></ul>La transition climatique implique des transformations du marché du travail et de l’offre de formation, mais l’adaptation des programmes d’études et la reconversion des travailleurs ne se font toutefois pas du jour au lendemain. Le rapport formule donc plusieurs recommandations urgentes :<ul><li>Les pouvoirs publics doivent permettre à l’éducation et au marché du travail de jouer pleinement leur rôle dans la transition climatique, en élaborant des plans clairs.</li><li>Les établissements de formation doivent rapidement intégrer les besoins du marché du travail liés à la transition climatique dans leurs programmes, en anticipant les besoins non seulement actuels mais aussi futurs (sur plusieurs décennies).</li><li>Les employeurs et les fonds sectoriels doivent mieux mettre en avant les besoins en compétences vertes pour que les profils professionnels et les programmes de formation soient adaptés à la transition. Ils doivent aussi mieux représenter les défis et les intérêts des nouveaux métiers dans les structures existantes, afin que les nouvelles compétences soient plus rapidement intégrées.</li><li>Les établissements d’enseignement doivent intégrer de manière structurelle des cours sur la transition climatique dans l’offre éducative belge, afin de renforcer la sensibilisation.</li></ul>La publication “The sectoral impacts of the climate transition - focus on employment, skills and training” est disponible sur <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="https://climat.be/2050-fr/analyses-complementaires">le site web du service fédéral du climat</a>. Contact presse : Lucas Demuelenaere – 0473 630 710, <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="mailto:Lucas.demuelenaere@health.fgov.be">Lucas.demuelenaere@health.fgov.be</a>

La Belgique doit adapter sa politique d’emploi et de formation pour réussir la transition climatique

De Europese Commissie heeft België al herhaaldelijk aanbevolen om arbeidstekorten in transitiesectoren en de mismatch tussen de gevraagde en aangeboden vaardigheden aan te pakken. Tegelijk zouden meer volwassenen moeten deelnemen aan bij- en omscholing en zullen werkzoekenden begeleiding nodig hebben om de jobkansen van de transitie te kunnen benutten.Om de behoeften beter in kaart te brengen en beleid te ondersteunen, publiceert de Dienst Klimaatverandering een nieuwe studie over de impact van de klimaattransitie op werkgelegenheid, vaardigheden en opleiding in België.Er zal geen klimaattransitie zijn zonder een transitie van werk en opleidingHet rapport, uitgevoerd door Climact en IDEA Consult, analyseert de evolutie van de arbeidsvraag en de opleidingsnoden in zeven sectoren die &nbsp;sterk beïnvloed worden door de klimaattransitie.De conclusie is duidelijk: de ingrijpende veranderingen die zich voltrekken, vereisen snelle actie om de toekomstige personeelsbehoeften en opleidingsnoden aan te pakken. Enkel door de huidige kloof tussen de arbeidsmarkt en de opleiding van werkzoekenden te dichten kan ons land de kansen die de klimaattransitie met zich meebrengt, grijpen. Samenwerking en coördinatie tussen overheden, publieke diensten, sociale partners, sectorfondsen en onderwijsinstellingen is daarbij essentieel.De studie brengt 3 kernboodschappen naar voor:<ol><li>De klimaattransitie biedt kansen voor kwaliteitsvolle tewerkstelling. Tegen 2050 wordt een (beperkte) netto jobgroei verwacht, met belangrijke verschuivingen tussen en binnen sectoren.</li><li>Om deze kansen te benutten, is een betere identificatie van toekomstige arbeids- en opleidingsbehoeften nodig, evenals een versterking van de jobkwaliteit en de aantrekkelijkheid van klimaatgerelateerde beroepen.</li><li>Een nauwere afstemming tussen arbeidsmarkt en onderwijs is essentieel. Daarom moeten de beroepscompetentieprofielen en opleidingen meer rekening houden met de transitie.</li></ol>Ontwikkelingen per sector<ul><li>Transport: tegen 2050 kunnen we tot een verdubbeling verwachten van de vraag naar openbaar vervoerbestuurders, een sterke groei voor fietskoeriers en fietsmechaniekers, maar een daling in de vraag naar vrachtwagenchauffeurs en automechaniekers. Betere arbeidsvoorwaarden, omscholing en korte opleidingen zijn cruciaal om voldoende arbeidskrachten in deze sector te garanderen.</li><li>Gezondheidszorg: veranderingen in de arbeidsvraag als gevolg van de transitie zullen beperkt zijn, maar om de sector te decarboniseren zijn preventie en circulaire praktijken cruciaal. In de opleiding van zorgverleners moet hier meer focus op komen te liggen.</li><li>Landbouw en voeding: tegen 2050 kan deze sector aanzienlijk groeien, met een potentiële stijging van 50 000 tot 100 000 jobs afhankelijk van het transitiescenario. Agro-ecologische praktijken en veranderingen in voedingspatronen kunnen samen tienduizenden extra jobs creëren. Een succesvolle transitie voor de sector vereist echter een langetermijnvisie en technische begeleiding rond omschakeling en diversificatie.</li><li>Bouw: De bouwsector zal in de toekomst een belangrijke bron van tewerkstelling zijn, maar kampt vandaag al met grote arbeidstekorten. Tegen 2050 zullen er tot 130 000 extra jobs nodig zijn voor klimaatrenovaties, waarvan 59 000 in de bouwsector zelf en 79 000 in de toeleveringsketen. Opleidingen moeten dringend worden aangepast om nieuwe renovatievaardigheden integreren.</li><li>Circulaire economie: tegen 2050 verwachten we een verdere groei van circulaire jobs, vooral in hergebruik en reparatie. Arbeidsvoorwaarden zullen echter moeten verbeteren om voldoende mensen aan te trekken. Daarnaast is er nood aan de ontwikkeling van sectorspecifieke curricula voor de circulaire economie.</li><li>Onderzoek &amp; ontwikkeling: het is niet mogelijk om het aantal jobs dat verband houdt met klimaatgerelateerde O&amp;O precies te bepalen, maar in het algemeen wordt een toename verwacht van zowel technologische, humane als sociale onderzoekers. De sector ligt in concurrentie met andere sectoren wat betreft het aantrekken van STEM-profielen waarvan er sowieso al een tekort is.</li><li>Onderwijs: het huidige personeelstekort vormt ook een knelpunt voor de transitie. Tegelijk zullen leerkrachten en opleiders bijgeschoold moeten worden in duurzaamheid en klimaat.</li></ul>De klimaattransitie vereist verschuivingen op de arbeidsmarkt en in het opleidingsaanbod, maar het aanpassen van curricula&nbsp; en het omscholen van werknemers gebeurt niet van vandaag op morgen. Daarom formuleert het rapport een aantal dringende aanbevelingen:<ul><li>Overheden moeten het onderwijs en de arbeidsmarkt de kans geven hun rol in de klimaattransitie op te nemen, door duidelijke transitieplannen op te stellen.</li><li>Opleidingsinstellingen moeten de arbeidsmarktnoden voor de transitie snel integreren in hun opleidingsprogramma’s en zo niet alleen de noden van vandaag maar ook voor de komende jaren/decennia omvatten.</li><li>Werkgevers en sectorfondsen moeten de nood aan groene vaardigheden beter in de verf zetten zodat beroepsprofielen en curricula ontwikkeld kunnen worden die aansluiten bij de transitie. Ook moeten ze de uitdagingen en belangen van nieuwe jobs beter vertegenwoordigen in de bestaande structuren zodat nieuwe vaardigheden sneller geïntegreerd kunnen worden in opleidingen.</li><li>Onderwijsinstellingen moeten vakken over de klimaattransitie structureel integreren in het onderwijsaanbod om zo de bewustmaking te vergroten.</li></ul>De publicatie “The sectoral impacts of the climate transition - focus on employment, skills and training” kan worden geraadpleegd op <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="https://klimaat.be/2050-nl/bijkomende-analyses">de website van de federale dienst Klimaat</a>Perscontact :&nbsp;Lucas Demuelenaere – 0473 630 710, <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="mailto:Lucas.demuelenaere@health.fgov.be">Lucas.demuelenaere@health.fgov.be</a>

België moet zijn arbeidsmarkts- en opleidingsbeleid aanpassen om van de klimaattransitie een succes te maken